• .

     

     

    Serge

     

     

    .

    Perdue entre ciel et terre

     

    Entre ciel et terre, mon âme divague

    Je cherche encore l’été de tes rêves.

    Tes mots restés gravés sur mes rivages

    Portent des songes qui jamais ne s’achèvent.

     

    J’ai lassé, au balcon de mes yeux, voltiger

    Les étoiles blanches des nuits qui t’appellent

    Tout un monde de papillons vient s’y brûler

    Comme mon cœur qui t’interpelle.

     

    Vois, ô vent de mes dérives, vois mon nom

    Fragilisé par l’étendue des rumeurs océanes

    Écoute chanter entre ciel et terre, ma raison.

    C’est de ton souvenir que les accords émanent.

     

    Pour toi, je me suis habillée des regards du soleil.

    J’ai couché sur la face des lunes, mes songes de toi.

    De ton visage en mémoire, j’ai gardé au réveil.

    Les accords passés qui me portent encore ta voix..

    ©Janedeau


    7 commentaires
  • Si l'été portait ton nom

     

    Serge

     

    Si l’été portait ton nom

     

    Si l’été portait ton nom, sur tes lèves, je serais rosée.

    Les nuits sur un lit de soleil conquerraient tes jours.

    La rivière de nos amours serait notre chemin bleu

    Il n’y a pas que le ciel qui dormirait sur nos errances.

    Il y aurait toi et moi, dans les silences en cavale.  

     

    J’aimerais m’allonger dans les coulisses de ton rêve,

    Être univers infini buvant au puits de ton jardin,

    Semer dans les forêts le bruissement de tes brises.

    Tu es fils du vent et tu portes en tes mains, l’été.

    Entends les crépitements de mon cœur qui t’appelle.

     

    Pour t’écrire, ma muse vient boire aux rives de tes yeux,

    Tes regards ont la beauté des cieux, ô flots captifs

    Qui gardent ta mémoire dans mes reliques d’étoiles.

    Oh si l’été portait ton nom, les soirs de veille, intimes

    Peindraient sur les toiles du temps, notre amour éternel.

    ©Janedau

     


    6 commentaires
  • Dédié au vent de ma rivière bleue

     

     

    Le cœur débordant d’amour

     

    Tu ranimes mon cœur d’un friselis d’étoiles

    Quand tu entres dans l’azur d’un ciel de mer.

    Sur la lune bercée de rêve, ton ombre dévoile

    Les pensées qui t’aspirent à de douces prières.

     

    Vois, j’ai pour toi les soleils éveillés des étés,

    Et la grandeur des palais de bienveillance.

    Mon cœur pour toi, sera un jardin de sérénité

    Mon âme, un refuge de plénitude et d’errance.

     

    Vois, je peux déceler sur ton corps, ta poésie

    Il n’y a plus pour moi de secret à tes silences.

    Chaque jour, j’entre dans les rêves de ta nuit.

    Où rien ne peut rivaliser avec ta magnificence.

     

    Ô mon merveilleux amour de vent que j’aime

    J’ai pour toi le cœur débordant d’amour.

    À chaque jour, tu es l’ode divine de mes poèmes

    Tu es la volupté qui m’étreint et que je savoure.

     

    Les saisons ont mis en mon âme les automnes.

    Viens effeuillons ensemble nos pages d’amour.

    Viens, j’ai pour toi le cœur débordant d’amour

    Vois comme l’univers tout entier s’en étonne.

    ©Janedeau

     

     

     


    1 commentaire
  • SPÉCIALEMENT POUR LUI, LE VENT

    Me reviendra-t-il lui que j'attends 

    Chaque jour, je meurs un peu plus !

     

    Ma dernière requête

     

    Ma dernière requête

     

    Aventurier des mers, conquistador des royaumes d’Amérique

    Longtemps je t’ai cherché et attendu, toi mon troubadour,

    Toi dans les replis du ciel, dans les nuits de mes rêves angéliques

    Je t’ai vu et aperçu, de nuit, sur le mirage des ondes d’amour.

     

    Étoile fugitive, tu as contourné les reflets de mes yeux épuisés.

    Tu as parcouru les routes asphaltées des déserts de mon cœur.

    À foison, je t’ai cherché dans l’obscurité des lunes mal éclairées,

    J’ai tendu les mains vers le ciel, priant que survienne ta candeur.

     

    Ô souffle de vent, vois de toi, encore je me languis et soupire.

    J’explore les ruines marines des délices de ta rivière bleue.

    Dans le ciel qui prend tes errances, je me perds et je délire.

    Comme roseau, je me plie, je me tends sous l’orage frileux.

     

    Ma dernière requête, ma seule supplique, mon fantôme d’amour

    Ô vent de mes désirs, ton absence et ton silence me torturent.

    Vois les élans de mon âme noircir la lumière de mes jours, 

    Entends le glas de mon cœur amoureux sous l’ombre obscure.

    ©Janedeau

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Band of Horses : The Funeral / Le poids du chagrin

     

    Le poids du chagrin

     

    Les jours passent sur ma peine,

    Et le soleil me fuit, le ciel perdu

    Dans l’errance de mes états d’âme

    Se couvre d’orages et de tristesse.

     

    Un verre à la main, je vais ici et là.

    La vie écrit que des larmes amères.

    Le monde indifférent ne voit pas

    Que je porte le poids du chagrin.

     

    L’horizon brûle dans mes yeux

    L’écho du vent se promène

    Sur les vagues de ma rivière bleue

    Mon amour a déserté mes désirs.

     

    Le sillage de ton ombre me poursuit.

    Et je rêve de tes mains, de ta voix.

    Je rêve de te rêver dans mes rêves.

    Je rêve des naufrages en tes bras.

     

    Mes nuits chevauchent l’espace

    Et les astres m’emportent loin de toi.

    Le néant s’enfuit avec ton ombre

    Et mon âme plonge dans l’inconscient

    ©Janedeau.

     


    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique