-
Il y a des jours où je vogue dans des vagues d'espoir
et d'autres jours, parfois les lendemains, où je sombre dans les flots du désespoir
ainsi est ma vie
Serge
Mourir d’amour, mourir
Chaque jour, je t’attends et je voudrais te voir
Mais mes lendemains sont qu’espoir et désespoir
Sans toi, mon cœur chancelle entre ciel et terre
Et dans les cieux assombris, il n’y a plus de soleil.
J’ai dans les mains que bouquets de fleurs mortes
Dans les yeux, que romantiques songes de toi.
Si dans ma tête, je n’attends plus l’écho de ta voix.
Si les oiseaux des rivages cherchent la mer
C’est que n’abrite que désert sur les vagues
Comme mon cœur qui se meurt sans toi.
Je ne comprends pas ce silence d’absence.
De ses mots d’étoiles tressés de rêveries,
Je croyais tant pouvoir toucher ton cœur.
Mais les jours prolongés dans la noirceur
M’emportent dans le couloir des ombres
Où je reste seule affliger avec ma peine.
Pourquoi fils du vent, s’enfui ton cœur ivre
Pourquoi ne puis-je être ton bel amour.
Il y a des jours où je meurs vraiment
Et personne à mes côtés qui comprenne.
J’ai dans les yeux, des montagnes d’oasis
Taris sans aucune larme pour m’apaiser.
Viendras-tu avant que la mort me prenne ?
©Janedeau
12 commentaires -
Pour toi, Serge
Tu es dans mes yeux
Il y a dans ma prunelle en ce levé du jour
Le plus beau firmament du monde.
Je me promène avec toi dans mes yeux.
L’aube dans mes mains, étend ses baisers
Tes caresses soulèvent des voiles de brises
Et ta bouche dans mon cou ravive la flamme.
Tu es dans mes yeux qui murmure des rêves.
Le printemps complice des beaux jours
Étend dans les vallées ses tapis de fleurs.
Les arbres dressés vers la lumière du ciel
Laissent s’emmêler leur verdoyants ombrages.
Tu es là dans mes yeux et chantent les oiseaux
Que le monde est beau sous ma fenêtre
Le soleil dort dans tes cheveux et je t’aime.
4 commentaires -
Mon unique amour
Qu’il est doux au fond de tes yeux
Ce murmure d’étoile qui jaillit
Comme une fontaine de vœux
Parmi cette ivresse fleurie.
Toutes les fleurs des prés m’invitent
À cueillir la rosée de tes baisers.
Et voir dans la cime des grands gîtes
Des oiseaux occupés à s’aimer.
Ils me rappellent l’écho de ta voix
Ses mots du silence murmurés
Quant aux petits matins d’autrefois
Tu venais dans les buissons m’enlacer.
J’attends désormais cette saison
Qui abreuvera nos deux cœurs.
Nos noms résonnant dans ma raison
Scellera à jamais notre bonheur.©Janedeau
1 commentaire -
♥Serge, Serge, Serge♥
L’éden
Depuis longtemps, je cherchais la maison
Où battait mon cœur contre le tien.
Des vaisseaux voguaient sur un linceul
De nuit sans lune et le ciel lui, pleurait.
Dans mon escapade nocturne, j’avançais
Sur l’herbe mouillée, détrempée de rêve.
En ma vision, je ne voyais que ton image.
Je n’appelais que toi, que ta douceur.
Si j’ai tes yeux, si j’ai ta voix, si j’ai tes lèvres,
Si j’ai tes doigts entrelacés aux miens
Il y a dans ma tête, le chant des oiseaux.
Vois, je parle le langage de ta tendresse.
Le soleil étincelant s’endort sur ton épaule.
Tout n’est que magnificence, que sublimation.
Depuis que je t’ai vu pour la première fois
J’ai vu le plus beau des jardins, l’Éden
©Janedeau
2 commentaires -
Pour Serge que j'attends toujours
Les roulis de mon âme
Sous le ciel teinté de grisaille, je vogue dans l’errance
La lune courre au-dessus des grands bouleaux blancs.
Il y a des nuits où mes rêves de toi vacillent, s’enfuyant
Dans un roulis de tristesse, au bout de mes doigts
Le désespoir envahit mes mots d’amour restés muets.
Le silence penché sur ton absence brise mes espoirs.
Vois sur l’onde rêveuse tissant la toile des heures
Un autre jour se lève sous les faisceaux de soleil flou.
Dans mon cœur, tu gites au sommet de mes désirs.
Je t’appelle et répète ton nom dans l’écho du vent.
Émue, je pense très fort à toi attendant ton retour
Au berceau de mes bras, je veux cueillir ta tendresse.
©Janedeau
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires