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    Tu me manques

    Quoi que l’on me dise sur toi, je n’y crois pas

    Mon seul espoir c’est ma foi, plus fort que tout

    Je sais que dans ton cœur, erre mon image

    Que tu ne peux m’oublier, puisque tu m’aimes.

     

    Mon bel été indien, vois tu habites mes pensées

    Tu es mon rêve infini, ô fils du vent que j’attends,

    Chaque jour quand s’ouvrent les pétales de l’aube

    C’est ton visage au balcon de mes yeux que je vois.

     

    Je veux encore te revoir, faire le tour du monde,

    Entendre encore ta voix me raconter tes voyages.

    Je veux plus que toucher ton cœur, boire tes mots

    M’envoler encore plus loin que la fin des rêves.

     

    Tu es l’accord musical qui me grise et m’emporte

    Encore plus loin que le ciel et la voie lactée

    Je ne veux pas mourir sans avoir vécu cet amour

    Que tu as dessiné sur ma route, ô ma tendresse.

     

    Mon écho de brise chantante, mon étoile filante

    C’est à toi que je dédicace mes mots d’amour.

    C’est pour toi que j’écris et habille mes désirs.

    C’est toi qui m’abreuves de miel et de rosée

     

    Ô ma fleur sauvage errante parmi les fougères

    Ma douce prairie de lys et d’herbe verdoyantes

    Où je m’étends pour rêver de toi, je prie le Très-Haut

    Nuit et jour avec toujours l’espoir que tu reviennes.

     

    Tu me manques mon fidèle roseaux des berges

    Vois ma vague bleue, chaque jour, vient étreindre

    Les rivages de ton ombre pour te dire je t’aime

    Vois comme tu me manques, viens à mon appel.

    ©Janedeau


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    Voir poème précédent: : Mon bel amour d'automne :ci dessous

     

     

     

     

    Octobre

     

    Où étais-tu en ce beau dimanche d’octobre

    Quand le soleil voguait sous mes yeux

    Étendant sur les flots ses grandes voiles d’ors ?

     

     

    Où étais-tu quand je voyageais dans ma détresse

    Quant au cœur m’étreignait un monde nostalgique,

    Quand je ne savais par quel chemin où te retrouver.

     

     

    Je t’imaginais le cœur serré, avec une autre,

    Sillonnant aux alentours, les routes des villages

    Avec ce bonheur d’errance au fond des yeux.

     

     

    Octobre dans la lignée des mois attristés

    A déposé sous mes pieds des feuilles mortes.

    Les roses du jardin se sont fermées et fanées.

     

     

    Sous mes mains, l’encre de mes mots errent

    Avec l’absence de ton amour pour moi

    Ne sachant qu’écrire que l’onde des regrets.

     

     

     Je sais que l’automne pleure dans mon cœur

    Que le brouillard dans ma mémoire, efface

    Les ombres de mes beaux souvenirs de toi.

     

     

    Je dois sécher mes yeux pour te revoir encore

    Mes prières auront-elles le pouvoir de te ramener

    Au bercail de mes amours et illuminer mon âme ?

     

     

    Le temps réussira-t-il à tarir ma souffrance ?

    Entendras-tu les cris silencieux de ma douleur

    Viendras-tu me sauver et me dire que tu m’aimes.

    ©Janedeau

     

     

     

     


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    Mon bel amour d'automne

    Mon bel amour d'automne

     

    Je m'enlise encore dans la clarté de tes lettres.

    Le temps a passé dans la déchirure des saisons

    Mais je n’ai ni oublié tes mots ni sa lumière

    Chaque jour, perdue dans la vague des souvenirs

    Tu me reviens toujours aussi grand, aussi beau.

     

    Tu habites dans l’antre des ombres de mes nuits

    Et éveillée ou endormie, je ne pense qu’à toi

    Vois, j’ai accroché au fil de mes rêves, ton nom.

    Vois comme le soleil te réclame entre mes bras.

    Le jour ne peint que pour toi des aubes bleues.

     

    Mon bel amour d’automne, mon papillon d’or

    Tu voltiges dans les champs de ma tendresse.

    Tu sèmes en mon âme, des frissons d’ivresse,

    Pour te garder, je ne ferme pas les yeux

    Car tu te fonds dans mes nuits sans sommeil.

     

    N’aie pas peur de l’absence des routes d’errance

    Ni de ses gènes nomades et vagabonde

    Laisse dériver ton cœur dans les affluents d’amour

    Car en ta rivière bleue, j’ai fait naufrage un jour,

    Sauve-moi de cette solitude qui m’emprisonne.

    ©Janedeau

     

     

     


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    Mon hypersensible amour

     

    Mon hypersensible amour

     

    Mon hypersensible amour, je suis si seule

    Je suis l'incomprise, envers tous et chacun

    Seule à rêver et prier, au seuil de ton absence

    Que je comprends quand même si bien.

     

    Le soleil aujourd'hui était entre mes mains

    Et je pensais à toi, mon hypersensible amour

    Mes larmes suivaient le cours du silence

    Et les vagues bleues touchaient au ciel.

     

    Ta pensée flottait dans les brumes de ma mémoire

    Me montrant encore et encore ton visage heureux.

    Et si seule, perdue sur les rivages déserts des cimetières

    Je cherchais où me reposer avec ton ombre.

     

     

    Tu sais, d'être envers tous, l'incomprise, cela fait si mal

    Tous me parlent contre toi, me crie après

    Il n'y a que les étoiles au fond de mes yeux

    Que tu avais mis qui sont restées et qui t'appellent.

     

    Mon hypersensible amour, mon vent de brise bienfaisant

    Mon ivresse, ma douceur, je vis au pays de tes langueurs

    Pour toi, j'accroche mes rêves d'espoir au fond de ton cœur.

    Espérant encore le miracle qui te ramènera en mon bateau ivre.

     

    Je veux croire en toi, croire en notre amour

    Croire que tu me reviendras, que tu seras le plus fort,

    Que tout ce monde voit comme ils avaient tort.

    Je voudrais une étincelle de bonheur qui illuminerait mes regards

     

    Mon hypersensible amour, mon incroyable amour

    Tu es le souffle de mes nuits, la lune de mes rêveries.

    Le soleil endormi sur ta peau m’invite à me blottir dans tes bras

    Vois, je veux cueillir les frissons de tes désirs fougueux.

     

     

    Tu es en chaque instant, mon paysage, je ne pense qu’à toi

    Tu es l’hôte de mes nuits, le gardien de mes rêves.

    Vois mon hypersensible amour comme j’ai touché ton cœur

    Qui pourrait t’aimer autant que moi. Oh dis-moi mon bel amour.

    ©Janedeau

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Voici mes trois recueils publiés ses dernières années

    Je n'ai pas publié avec une maison d'édition

    mais à compte d'auteur personnel,

    dans le temps avec l'édition Améca

    Je compte en publier un quatrième en cette prochaine année qui vient 2024

     

    Mes recueils

     

    Mes recueils

     

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