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    Un écrit du coeur pour Serge

     

    Supplique

     

    Je pense à toi, je veux te revoir, si fort que j’en ai mal

    Dans mon cœur ému, je t’appelle et je cris ton nom

    J’ai l’âme déchirée rien qu’à penser que ton absence

    Persistera peut-être au-delà de tous les jours de ma vie.

     

    Il y a dans ma voix éplorée, des chants d’amour.

    Toute l’immensité de mon ciel peint ton image.

    Tu habites dans mon ombre, je prends ta main

    L’été est dans mes yeux avec toute sa beauté.

     

    Les grands champs de blé, épanoui, iront rêvant

    De soleil et ciel bleu jusqu’au bout de l’éternité.

    Sur l’océan de mes rêves, avec le vent tu vogues

    Tu as fait alliance avec les brises qui me frôlent.

     

    J’ai besoin de te voir, de voir dans tes yeux

    Tes magnifiques sourires qui m’enivrent

    Ils m’emportent au-delà des galaxies

    Ce bonheur, je ne le retrouve que dans toi.

     

    Mon aimé, reviendras-tu auprès de moi

    Me sauver de l’enfer qui m’emprisonne.

    Mon âme se noie dans les tourments

    À force de te chercher et à crier ton nom.

    ©Janedeau


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    Musique enivrante et poésie pour Serge

     

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    Quand j'écris pour toi

     

    Quand j’écris pour toi

    Mes mots glissent de mes doigts comme des étoiles

    Le soleil remplit mon cœur de toute ta personne.

    Comment ne peux-tu pas m’aimer si je t’aime autant,

    Comment peux-tu déserter l’antre du bonheur ?

     

    Des vagues bleues viennent reposer sur mon épaule

    Quand je décris pour toi, mes naufrages en tes bras.

    Mes rivages portent le nom des roses et ton nom.

    Tes étreintes ont laissé leurs empreintes sur mon corps.

     

    Dans toutes les avides saisons passées, je t’ai cherché

    Je n’ai bercé à l’aurore, que ton sublime automne

    Jusqu’au soir du bout de l’éternité, être ta tentatrice

    Ton amour endormie sur les rochers de tes errances.

     

    Ô viens recueillir ce goût de rêve sur mes lèvres,  

    Boire les fruits sauvages au calice de ma passion.

    Redécouvre-moi dans les saisons engoncées

    De tristesse, emporte-moi dans ta tendresse.

    ©Janedeau

    (édité dans mon 4 recueil)

     

     D'autres nouvelles poésies sont mise également régulièrement dans tous mes autres eklablogs


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    Pour toi Serge

     

    Tu dors dans mon coeur

     

     

    Quand l’étoile de tes yeux s’échappe de mon rêve

     Il ne reste en mon âme que des brouillards de larmes

    Je regarde dans mes mains ton ombre qui s’enfuit

    Et les mots perdus prennent des chemins d’exil.

     

    Je ne cesse de crier ton nom dans l’écho du matin

    Mais la levée du vent né de l’aube sommeille encore

    Le soleil brûle mes doigts, enflamme ma raison,

    Épuise les heures pris à te chercher et à te retrouver.

     

    Le temps s’est envolé, sous la voûte des nuages.

    Et ton image restée dans la plénitude de mes désirs

    Fait naufrage en mes berges blanches, oh mon ile

    Tu dors toujours bercer sur les vagues de mon cœur.

    ©Janedeau

     


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    Dédié pour Serge

     

    Dans mon pays d’exil

     

    Dans mon pays d’exil, tu es là dans le bruissement du silence.

    Les accords de ta voix dans la nuit reviennent hanter mes rêves.

    Comment oublier ton visage quand ton image fait naître l’aube?

     

    C’est le soleil échappé de tes mains qui vient loger dans mes yeux

    Et ses cent milles milliers d’étoiles abordant mes berges blanches

    Qui enlacent les frissons de ton ombre dans la pénombre du matin.

     

     Au plus profond de mon être, résonnent les pas de l’absence.

    Et les heures fuyantes cherchent à arrêter le temps qui passe.

    Dans la mêlé, brisée je meurs toujours un peu plus chaque jour.

     

    Sans toi mon bel amour, j’erre, éplorée dans les déserts arides

    Ne cueillant que des bourgeons de fleurs nées après la pluie.

    Aussi vite ouverts, aussi vite fanés quand grelotent les nuits.

     

    Dans mon pays d’exil, je n’ai que ton souvenir heureux

    Que l’immensité de tes yeux pour boire tes sourires.

    Ma faim ne reste que sur ton rêve me remplissant d’amour.

    ©Janedeau

     


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    Serge, si tu avais pu m’aimer

     

    Si tu avais pu m’aimer

    Le soleil suspendu aux rives des cieux m’aurait remarquée.

    Et la mer dans laquelle je baigne mes espoirs, unirait nos âmes

     

    Mais les étoiles des déserts sont tombées dans mes yeux

    Et dans l’hiver recouverte de sable, je me suis perdue.

    Je scrute encore désormais dans les chemins de brume

    Le pays des rêves qui t’habite, celui qui a pris mon cœur.

     

    Vois dans les méandres de mes silences, la toile de ton ombre

    Ton absence résiste aux intempéries de ma folle détresse.

    Ses brûlures du cœur crépitent au feu de ma raison

    Car tu sèmes la brise qui t’emporte au bleu de mes rêves.

     

    Tu as été le grand amour de ma vie et aujourd’hui encore

    Sur la toile des tentations, je cherche en vain ton visage.

    Ô algue des flots perdus, reviendras-tu boire ma muse

    Étreindre mon bonheur quand je serai dans tes bras ?

    ©Janedeau


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