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Par Janedeau le 22 Mars 2024 à 22:42
Un écrit du coeur pour Serge
Supplique
Je pense à toi, je veux te revoir, si fort que j’en ai mal
Dans mon cœur ému, je t’appelle et je cris ton nom
J’ai l’âme déchirée rien qu’à penser que ton absence
Persistera peut-être au-delà de tous les jours de ma vie.
Il y a dans ma voix éplorée, des chants d’amour.
Toute l’immensité de mon ciel peint ton image.
Tu habites dans mon ombre, je prends ta main
L’été est dans mes yeux avec toute sa beauté.
Les grands champs de blé, épanoui, iront rêvant
De soleil et ciel bleu jusqu’au bout de l’éternité.
Sur l’océan de mes rêves, avec le vent tu vogues
Tu as fait alliance avec les brises qui me frôlent.
J’ai besoin de te voir, de voir dans tes yeux
Tes magnifiques sourires qui m’enivrent
Ils m’emportent au-delà des galaxies
Ce bonheur, je ne le retrouve que dans toi.
Mon aimé, reviendras-tu auprès de moi
Me sauver de l’enfer qui m’emprisonne.
Mon âme se noie dans les tourments
À force de te chercher et à crier ton nom.
©Janedeau
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Par Jane-la-rêveuse le 19 Mars 2024 à 23:37
Musique enivrante et poésie pour Serge
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Quand j’écris pour toi
Mes mots glissent de mes doigts comme des étoiles
Le soleil remplit mon cœur de toute ta personne.
Comment ne peux-tu pas m’aimer si je t’aime autant,
Comment peux-tu déserter l’antre du bonheur ?
Des vagues bleues viennent reposer sur mon épaule
Quand je décris pour toi, mes naufrages en tes bras.
Mes rivages portent le nom des roses et ton nom.
Tes étreintes ont laissé leurs empreintes sur mon corps.
Dans toutes les avides saisons passées, je t’ai cherché
Je n’ai bercé à l’aurore, que ton sublime automne
Jusqu’au soir du bout de l’éternité, être ta tentatrice
Ton amour endormie sur les rochers de tes errances.
Ô viens recueillir ce goût de rêve sur mes lèvres,
Boire les fruits sauvages au calice de ma passion.
Redécouvre-moi dans les saisons engoncées
De tristesse, emporte-moi dans ta tendresse.
©Janedeau
(édité dans mon 4 recueil)
D'autres nouvelles poésies sont mise également régulièrement dans tous mes autres eklablogs
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Par Jane-la-rêveuse le 19 Mars 2024 à 03:38
Pour toi Serge
Tu dors dans mon coeur
Quand l’étoile de tes yeux s’échappe de mon rêve
Il ne reste en mon âme que des brouillards de larmes
Je regarde dans mes mains ton ombre qui s’enfuit
Et les mots perdus prennent des chemins d’exil.
Je ne cesse de crier ton nom dans l’écho du matin
Mais la levée du vent né de l’aube sommeille encore
Le soleil brûle mes doigts, enflamme ma raison,
Épuise les heures pris à te chercher et à te retrouver.
Le temps s’est envolé, sous la voûte des nuages.
Et ton image restée dans la plénitude de mes désirs
Fait naufrage en mes berges blanches, oh mon ile
Tu dors toujours bercer sur les vagues de mon cœur.
©Janedeau
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Par Jane-la-rêveuse le 16 Mars 2024 à 06:18
Dédié pour Serge
Dans mon pays d’exil
Dans mon pays d’exil, tu es là dans le bruissement du silence.
Les accords de ta voix dans la nuit reviennent hanter mes rêves.
Comment oublier ton visage quand ton image fait naître l’aube?
C’est le soleil échappé de tes mains qui vient loger dans mes yeux
Et ses cent milles milliers d’étoiles abordant mes berges blanches
Qui enlacent les frissons de ton ombre dans la pénombre du matin.
Au plus profond de mon être, résonnent les pas de l’absence.
Et les heures fuyantes cherchent à arrêter le temps qui passe.
Dans la mêlé, brisée je meurs toujours un peu plus chaque jour.
Sans toi mon bel amour, j’erre, éplorée dans les déserts arides
Ne cueillant que des bourgeons de fleurs nées après la pluie.
Aussi vite ouverts, aussi vite fanés quand grelotent les nuits.
Dans mon pays d’exil, je n’ai que ton souvenir heureux
Que l’immensité de tes yeux pour boire tes sourires.
Ma faim ne reste que sur ton rêve me remplissant d’amour.
©Janedeau
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Par Janedeau le 27 Février 2024 à 05:29
Serge, si tu avais pu m’aimer
Si tu avais pu m’aimer
Le soleil suspendu aux rives des cieux m’aurait remarquée.
Et la mer dans laquelle je baigne mes espoirs, unirait nos âmes
Mais les étoiles des déserts sont tombées dans mes yeux
Et dans l’hiver recouverte de sable, je me suis perdue.
Je scrute encore désormais dans les chemins de brume
Le pays des rêves qui t’habite, celui qui a pris mon cœur.
Vois dans les méandres de mes silences, la toile de ton ombre
Ton absence résiste aux intempéries de ma folle détresse.
Ses brûlures du cœur crépitent au feu de ma raison
Car tu sèmes la brise qui t’emporte au bleu de mes rêves.
Tu as été le grand amour de ma vie et aujourd’hui encore
Sur la toile des tentations, je cherche en vain ton visage.
Ô algue des flots perdus, reviendras-tu boire ma muse
Étreindre mon bonheur quand je serai dans tes bras ?
©Janedeau
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